Ah oui très bonne version je trouve.
J'ai toujours été "fan" de ce morceau.
Seule petit bémol à mon goût (je chipote): le batteur un peu trop "jazzy"
Rockandrail a écrit:Acheté le jour de sa sortie et je l'ai toujours naturellement.
Mais un léger désaccord tout de même. Pour moi, le meilleur des Genesis, c'est "Selling England By The Pound". The Lamb, le premier disque est top. Mais le deuxième a des longueurs et la dernière face est assez quelconque. Le final après "The light dies down on Broadway", c'est-à-dire "Riding the Scree - In the Rapids - It" est franchement pop et annonce le Genesis de Phil Collins.
Et leur tout meilleur morceau reste, IMHO, "Supper's Ready" sur "Foxtrot".
A l'époque, j'étais en Belgique et le groupe a eu là bas un fan club dès ses débuts. C'est ainsi que je les ai connus dès l'album "Trespass" en 1970. Sans Steve Hackett ni Phil Collins pas encore dans le groupe. C'était Anthony Philips à la guitare et John Mayhew à la batterie.
Je les ai suivis jusqu'à l'album Duke en 1980. A partir d'Abacrap en 1981, j'ai laissé tomber. Tout ce qu'ils ont fait après est assez pitoyable mais cela plaisait au plus grand nombre. Comme Tino Rossi avant eux.
domi a écrit:Dans un style différent je suis actuellement en train de réécouter Why Dontcha du power trio West Bruce et Laing, enregistré au début des années 70. Que du bonheur, avec les riffs saignants, la slide cosmique et la puissante voix rocailleuse de l'énorme (à tous les sens du terme) Leslie West, la basse ronflante et carrée de l'immense Jack Bruce et les fûts martelés de Corky Laing.. Intemporel !![]()
Domi
Rockandrail a écrit:The Cure n'est plus vraiment un groupe de jeunes.Mais ce dernier album est sans doute leur chef d'oeuvre. Par certains aspects, c'est du rock progressif. Etonnant pour un des fondateurs de la New Wave.
Pour l'anecdote, au début des années '80, j'allais au théâtre de l'Empire assister aux enregistrements de Chorus, l'émission "Pop" d'Antenne 2. Antoine de Caunes et Jacky Jakubowicz (celui du club Dorothée) avaient un tout petit bureau sous les combles où ma jeune épouse et moi allions frapper à la porte pour quémander des invitations. Ce qui ne nous a jamais été refusé.
J'ai ainsi pu voir The Police, les Stranglers et the Cure, entre autres, en concert quasi privé et nous avons pris un pot avec Robert Smith.
Ce matin, j'écoutais Billie Eilish (Happier than Ever) et Lana del Rey (Born to Die). Hier, j'avais ressorti "Sergent Pepper's Lonely Hearts Club Band", pressage anglais stéréo d'origine. Ces pressages Parlophone étaient sacrément bons.
Donc pas du tout scotché sur une époque même si elle reste dominante dans les écoutes.
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