LeSoir a écrit:Infrabel: «L’arrêt du Conseil d’État est un coup de frein temporaire»
Le dossier en question ici est celui de l’équipement de certaines voies du réseau en ETCS niveau II, un système qui permet d’arrêter automatiquement et systématiquement un train qui brûle un feu rouge ou ne respecte pas les contraintes de fonctionnement par le contrôle permanent de la vitesse du train. Si le train va trop vite à un endroit, s’il s’engage alors qu’il y a un feu rouge, le système le bloque automatiquement. Un marché important qui s’élève à la somme de 510 millions d’euros.
À la demande de la société Alstom, à la tête d’un consortium de plusieurs co-entreprises, le Conseil d’État vient donc de suspendre le marché qu’Infrabel a attribué le 14 octobre dernier au projet Siemens-Fabricom. Le premier, dont l’offre n’a finalement pas été retenue, estime qu’Infrabel « n’a pas respecté le principe d’égalité de traitement des soumissionnaires, en apportant de nombreuses et substantielles modifications du cahier spécial des charges, ou en d’autres termes à ses exigences techniques et financières, après l’ouverture des offres, ainsi qu’en modifiant le mode de calcul du prix. »
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La SNCB engagera 1.300 personnes en 2015« Ces dix prochaines années, 50 % de notre personnel partira à la pension, ce qui demande un effort constant de recrutement », explique, mercredi dans Metro, l’entreprise, qui cherche avant tout à embaucher du personnel de terrain.
Selon L’Echo de mercredi, la SNCB va consacrer l’année prochaine un budget total de 703 millions pour :
- l’accueil des voyageurs (125,5 millions d’euros)
- travaux de construction et de ravalement de façade des gares (près de 80 millions d’euros)
- construction de nouveaux parkings (47 millions d’euros).
La SNCB ne compte pas faire d’économies sur les investissements en matière de sécurité et consacrera 350 millions à honorer les commandes de matériel roulant en cours.
Une enveloppe de 172 millions sera consacrée aux ateliers et aux bâtiments de service, tandis que le parc informatique bénéficiera d’un investissement de près de 56 millions.
L’entreprise ferroviaire va par ailleurs engager au moins 1.300 personnes l’année prochaine, notamment à la suite de l’entrée en vigueur du nouveau plan de transport et pour remplacer les nombres travailleurs de la SNCB qui partent à la pension.
HT 
La question : Comment ont-ils pu bénéficier du temps nécessaire pour réaliser ce travail sans être déranger 
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