db54 a écrit:Ça commence à chauffer sec pour les anthropo-réchauffistes.
Alors que Le Monde maintient tant bien que mal sa ligne "circulez, y'a rien à voir" et que pour l'essentiel, le reste de la presse française garde le silence, la presse anglo-saxonne, britannique notamment, parle de grand scandale scientifique (voir le Times ou encore le Telegraph).
Les deux figures de proue de la climatologie officielle sont à présent sur la sellette : le New York Times rapporte que Phil Jones, le directeur du CRU (Climatic Research Unit) de l'Université d'East Anglia, la principale source auprès de laquelle s'approvisionne en données le GIEC, démissionne temporairement en attendant le résultat de l'enquête que mène à présent son université. Celle où travaille Michael Mann, l'alter ego américain de Phil Jones, la Pennsylvania State University, fait de même.
Chaque jour apporte de nouvelles révélations ... un bon suivi du "scandale" :
http://www.objectifliberte.fr/2009/11/climategate-4.html
Il est grand temps de faire taire ces idéologues chlorofascistes qui veulent nous ramener avant Cro-Magnon. Quiconque possède quelques bases en physicochimie comprend instatanément que la théorie du CO2 ne tient pas une seconde.
En effet, le CO2 représente environ 5% du total des gaz à effet de serre de la planète. Le principal d'entre eux, pour plus de 90% étant la vapeur d'eau. Il n'est pour s'en rendre compte que de comparer les températures matinales lorsque le ciel est clair et lorsqu'il est couvert de nuages. Les écarts sont de plusieurs degrés en 24 heures.
Le CO2, donc représente 5% du total. Donc augmenter le CO2 de, mettons 2% comme on nous le serine, revient à augmenter le total de 2% de 5%, c'est-à-dire de 0,1%.
Il n'existe aucun modèle physico-chimique qui, lorsqu'on change de 0,1% l'une de ses composantes, change lui-même de manière significative.
Vous avez un tas de patates de 1000 patates. Vous ajoutez une patate au tas et vous déclarez que l'équilibre du tas est complètement perturbé. Voilà la thèse du GIEC.
Tout ceci est sans compter le REFROIDISSEMENT climatique continu et régulier qu'a connu la Terre entre 1940 et 1975. Curieusement, personne ne l'évoque jamais. Refroidissement tellement important que nous évoquions au cours de physique, en école d'ingénieur vers 1973-74, les différentes hypothèses permettant d'éviter une nouvelle glaciation en l'an 2000. Refroidissement concomitant à l'explosion industrielle des 30 glorieuses.
En conclusion, consommez moins pour préserver les ressources, préoccupez vous prioritairement des ressources en eau potable, de la pollution des sols. mais arrêtez de flipper à propos du climat. L'Homme n'a rien à voir là dedans.
