Rodolphe a écrit:
Exemple simple qui vaut ce qu'il vaut. Punissez un jeune - ou moins jeun, mais moi aussi je veux être à la mode donc je cause des jeunes - pour avoir fait une mauvaise blague à propos de... enfin d'un groupe, d'une communauté ou autre. Il se passera quoi ? Le jeune en question ne se moquera plus en plaisantant mais il se moquera en étant sérieux et nourrira même de la haine alors qu'il n'y en avait pas forcément à l'origine. Effet inverse de celui qui est soit disant recherché.
Rodolphe
Qui? Quoi? Si c'est un enseignant, une patrouille de flics ou simplement un quidam qui alpague un djeun en train de faire une connerie, qui prévient ses parents et que ceux ci prennent la défense de leur progéniture en arguant que le malheureux a bien un peu le droit de s'amuser, c'est gagné d'avance. Si, en plus d'avoir été ramené par l'oreille à la maison, il se prend une rouste (au sens large : sermon, baffe, baston...), c'est mieux, surtout avec une discussion sérieuse avant ou après.
Les jeunes, c'est comme nos gamins : C'est une question de cohérence, d'attention éducative de tous les instants. Si Minimiss obtient de Roro ce que miss Playmo lui a refusé, 0/20. Si ça sonne "non" à tous les étages, éventuellement avec une explication (tu vois, la grosse boite de cartes postales cachée sous le fauteuil, tu n'y touches pas, elle est fragile
et en plus maman le sait pas), ça sera intégré et assimilé. Si on veut bien voir que la société , c'est juste la famille en plus grand, c'est parfait.
Espère, pauvre fou, que les chaînes de la justice te saisissent avant que le glaive de ma vengeance ne te trouve.