corto a écrit:il n'y avait pas dans mes propos une agressivité envers les parisiens, ceux d’origine ou ceux par obligations ; malheureusement on sait tous que dans une telle situation, "on" ne satisfera jamais tout le monde. La seule chose à regretter 'ou reprocher selon où on se situe c'est la proximité avec Orléans... Et là je trouve la démarche des organisateurs de RE quelque peu cavalière... à croire qu'il y a RE, son gentil organisateur et le reste de la planète. (mais ça honnêtement je le savais déjà)
Bien sûr que ça ne satisfera pas tout le monde, aucun lieu ne le peut. Et même si on va à un endroit très demandé, ceux qui ont demandé vont quand même râler. C'est vrai pour tout. En particulier dans notre domaine. Pas seulement, mais depuis dix ans, j'arrive quand même encore à être étonné
Pour la proximité (lieu, je n'y reviens pas, et date), là encore nous n'y pouvons rien. Avec un délai aussi court, l'association s'est déjà il me semble très très bien débrouillée !
Le jugement ultime viendra de la fréquentation et, vu la particularité de cet événement, de la rentabilité pour les professionnels présents. Le reste n'est fait, comme tu l'as fort bien écrit, que d'élucubrations de forum
Rodolphe
), alors pourquoi pas Chartres 
Doivent pas payer le tarif grand public ! Un exemple, l'aller simple pour Paris en partant de Rennes varie entre 40 et 63 € en seconde classe... et il faut faire le chemin dans l'autre sens... 
... ah si, il y a moins cher... le ouibus, 19 € ! Eh oui, un bus...... 
Tu seras quitte là aussi pour repartir dans l'autre sens une fois arrivé à Paris, sauf que t'auras passé au moins 4 heures dans le confort très relatif d'un bus (perso ça me rend claustro). En fait le bus ce n'est pas cher mais ça cumule tous les défauts du train et de la voiture sans en avoir aucun des avantages. C'est très "tiers-monde". Triste qu'en France on en soit arrivé à promouvoir le bus au détriment d'un réseau de chemin de fer jadis très dense. Mais ferroviairement Paris a toujours "fait le vide" et la plupart des villes dans un rayon de 100 km autour de paris ont toujours été très mal reliées à la province. Même avant le TGV aller de Chartres à Lyon ou Bordeaux impliquait un passage par Paris. 
