Une journée de la 141.100 au dépôt de Lisieux
Posté: 14 Déc 2009, 23:28Pour Clem, voilà ce qui s'est passé au dépôt de Lisieux la veille du départ en retraite de son grand père 
http://www.forum-train.fr/forum/viewtopic.php?f=18&t=3539
La 141.100, venant d’assurer un patachon entre Trouville et Lisieux est annoncée à l’entrée du dépôt. Bruno, l’aiguilleur de service sort de sa guérite et se prépare à faire l’itinéraire.
Déjà, la puissante mikado Etat se présente, semblant glisser silencieusement sur les rails de la voie d’entrée, seuls grincent sous la masse du monstre, les rails à double champignons de l’ancienne voie Ouest.
L’équipe de conduite, composée de Christian et Joël, s’apprête à effectuer les diverses opérations d’entretien de leur bouillotte, avant de penser eux-mêmes à se restaurer…
La première opération consiste à faire de l’eau. C’est le travail de Joël qui s’emploi au maniement de la grue hydraulique à col simple.
Christian, après avoir procédé au graissage du mécanisme extérieur, descend dans la fosse afin d’inspecter les entrailles de la bête. Il lui faut alors déceler les éventuelles avaries qui ne sont visibles que lorsque la machine est chaude.
A la suite de ces opérations d’entretient la machine peut être tournée sur le pont...
...puis les soutes vides du tender seront remplies d’un mauvais poussier qui donnera à Joël quelques soucis demain matin. D’autant qu’il devra assurer la pression sur la ligne difficile de Trouville à Cabourg.
Mais pour ce soir, la 141.100, approvisionnée et bichonnée par son équipe titulaire, peut prendre quelques repos bien mérité à l’abri de la remise.
Déjà, Joël, son panier repas à la main se dirige d’un pas décidé vers le réfectoire du dépôt. Bruno l’attend déjà, pour l’un se sera andouillette grillée, pour l’autre, tripes à la mode de Caen…
http://www.forum-train.fr/forum/viewtopic.php?f=18&t=3539
La 141.100, venant d’assurer un patachon entre Trouville et Lisieux est annoncée à l’entrée du dépôt. Bruno, l’aiguilleur de service sort de sa guérite et se prépare à faire l’itinéraire.
Déjà, la puissante mikado Etat se présente, semblant glisser silencieusement sur les rails de la voie d’entrée, seuls grincent sous la masse du monstre, les rails à double champignons de l’ancienne voie Ouest.
L’équipe de conduite, composée de Christian et Joël, s’apprête à effectuer les diverses opérations d’entretien de leur bouillotte, avant de penser eux-mêmes à se restaurer…
La première opération consiste à faire de l’eau. C’est le travail de Joël qui s’emploi au maniement de la grue hydraulique à col simple.
Christian, après avoir procédé au graissage du mécanisme extérieur, descend dans la fosse afin d’inspecter les entrailles de la bête. Il lui faut alors déceler les éventuelles avaries qui ne sont visibles que lorsque la machine est chaude.
A la suite de ces opérations d’entretient la machine peut être tournée sur le pont...
...puis les soutes vides du tender seront remplies d’un mauvais poussier qui donnera à Joël quelques soucis demain matin. D’autant qu’il devra assurer la pression sur la ligne difficile de Trouville à Cabourg.
Mais pour ce soir, la 141.100, approvisionnée et bichonnée par son équipe titulaire, peut prendre quelques repos bien mérité à l’abri de la remise.
Déjà, Joël, son panier repas à la main se dirige d’un pas décidé vers le réfectoire du dépôt. Bruno l’attend déjà, pour l’un se sera andouillette grillée, pour l’autre, tripes à la mode de Caen…
