Le 12 septembre 2013, Alstom avait dévoilé l'esquisse du futur TGV (prototype) lors du Plan de Reconquête Industrielle de la France. Le TGV du futur aurait pu être livré en 2018 mais a pris du retard de 4 ans faute de budget. Juillet 2015: appel d'offre lancé. En décembre 2015, le constructeur ferroviaire français Alstom et son client, la SNCF, ont lancé une coentreprise Speedinnov destinée à concevoir le TGV du futur (TGV transportant 750 passagers, plus économique en matière de coût d'acquisition (c'est à dire que le prix unitaire d'une rame de TGV va baisser de 20%) et de charges d'exploitation et de maintenance; à 2 niveaux; 25% d'économie d'énergie; 90% de matériaux recyclables; modulaire; connecté avec la wi-fi à bord; modulaire; pas de voiture-restaurant afin de faire baisser le prix du billet TGV). L'AGV (automotrice à grande vitesse) est un échec commrecial car ce TGV n'a séduit qu'une seule compagnie ferroviaire : l'Italien NTV et que la SNCF a renoncé à l'acheter, privilégiant l'Euroduplex tandis que le projet AGV 2, envisagé en 2011, est au point mort. Le 7 septembre 2016, Alstom et la SNCF sont réunis pour concevoir/développer la 5ème génération de TGV. La SNCF commandera les futures rames TGV fin 2017. Mise en service en 2021-2022
