Rockandrail a écrit:Mes parents sont venus passer Noël à la maison. Ils ont 83 ans. Ils avaient donc songé à emprunter le Thalys (Ils viennent de Bruxelles). Cela devait, voyageant le 24 décembre, leur en coûter 325€ aller-retour sans compter les trajets domicile-gare.
Ils ont donc pris leur voiture. Autoroute tranquille, trajet d'une durée totale équivalente (environ 3H porte à porte) pour le prix d'un plein d'essence et de deux péages: environ 90€ aller-retour. Cherchez l'erreur.
je viens de comparer les prix sur un Quimper-Paris aller simple (c'est mon "fief" de référence, car en Morbilhan pour des raisons de travail)
Pour un départ dans l'heure, hors promos:
Voiture: 93 € (péages compris)
TGV : 74 à 104 € mais plus de 200 € le billet les 24 et 31 décembre ce qu'aurait du payer une de mes cousines venant de Paris pour le réveillon, elle est donc venue en voiture ( 205 diesel donc vraiment la voiture économique)! Et il faut savoir, qu'en plus la région Bretagne et l'Europe au non du désenclavement, subventionne une partie du cout du billet, qu'en serait-il donc si les contribuables locaux ne prenaient pas en charge une partie du retour au pays des "expatriés"
Avion: 417 €
Et "
éfa choli oss nous cupabilicé" ainsi que les politiques incompétents qui nous vendent du "développement durable bidon" , en montrant du doigt nos déplacements, et nous surfacturant des carburants, indispensables chaque matin pour aller travailler, sachant qu'en plus en province, il n'existe pas de services de transport en commun, comble de l'hypocrisie!...

Je ne roule pas en voiture de luxe, j'ai une vielle 106 essence "increvable" plus 210 000 au compteur et ma facture hebdomadaire en carburant avoisine les 60€ (pour aller travailler, un peu plus de 100 km par jour ... , avec aucune prise en charge par l'employeur!) Que les
écolos donneurs de leçons, descendent de leur petit nuage et de leurs "idéaux béats", je me considère comme "racketté", comme tout "provincial qui doit considérer qu'une part de son salaire (bien maigre) est reinvestie pour avoir le "droit de travailler".
