Re: Bonnes et mauvaises nouvelles du rail français
Posté: 09 Mai 2019, 23:09
"Nos voisins suisses ont réussies de transférer les transports de la route vers les voies ferrées" (01:22:00)
Non, ils ont réussies de le transférér vers l'Autriche, notamment vers le Brenner. Et c'est un miracle que la distribution modal dans le transit n'est pas pire que le moyen européen (20% train / 80% route).
En plus, le problème qui existe entre les pays de l'est et l'Allemagne existe entre l'Autriche et l'Allemagne (dans une manière différente) aussi : des mauvaises infrastructures allemandes et ça ne changera pas. Quand l'Autriche et l'Italie construisent un tunnel de base sous le Brenner + les lignes d'accès, la ligne entre Munich et le frontière autrichien, fortement surchargé, n'est même pas en planification.
Pas de réconfort, que la situation ferroviaire dans certains pays est encore pire...
Donc, si la distribution modal en Autriche (35% sur les voies ferrés) est relativement favorable pour les chemins de fer, c'est la "faut" des transports domestiques, des transports de l'export et import, le transit européen traversante le pays est largement derrière. Logique, quand la gouvernance du pays peut mieux influencer les moyens de transport si source ou destination du transport sont dans le pays.
Et c'est (entre plusieurs facteurs) une question de donner les subventions au bon endroit : Si je subventionne les infrastructures ferroviaires, j'économise beaucoup plus d'argent sur les infrastructures routières.
Un exemple : deux fois par semaine il y'a un train entre la VOEST (aciérie) à Linz et la cimenterie à Gmunden, pour transporter la scorie. Avant on avait des camions, jour par jour. Pour permettre les transports ferroviaires, l'usine de ciment devait construire un silo, quand la quantité du scorie qui arrive d'un coup est beaucoup plus grand. Pour accélérer ce projet, la construction du silo était subventionné par la région comme infrastructure ferroviaire, le meilleur réponse au problème du "juste à temps", aussi décrit dans la documentation.
voici un de ces trains :
Non, ils ont réussies de le transférér vers l'Autriche, notamment vers le Brenner. Et c'est un miracle que la distribution modal dans le transit n'est pas pire que le moyen européen (20% train / 80% route).
En plus, le problème qui existe entre les pays de l'est et l'Allemagne existe entre l'Autriche et l'Allemagne (dans une manière différente) aussi : des mauvaises infrastructures allemandes et ça ne changera pas. Quand l'Autriche et l'Italie construisent un tunnel de base sous le Brenner + les lignes d'accès, la ligne entre Munich et le frontière autrichien, fortement surchargé, n'est même pas en planification.
Pas de réconfort, que la situation ferroviaire dans certains pays est encore pire...
Donc, si la distribution modal en Autriche (35% sur les voies ferrés) est relativement favorable pour les chemins de fer, c'est la "faut" des transports domestiques, des transports de l'export et import, le transit européen traversante le pays est largement derrière. Logique, quand la gouvernance du pays peut mieux influencer les moyens de transport si source ou destination du transport sont dans le pays.
Et c'est (entre plusieurs facteurs) une question de donner les subventions au bon endroit : Si je subventionne les infrastructures ferroviaires, j'économise beaucoup plus d'argent sur les infrastructures routières.
Un exemple : deux fois par semaine il y'a un train entre la VOEST (aciérie) à Linz et la cimenterie à Gmunden, pour transporter la scorie. Avant on avait des camions, jour par jour. Pour permettre les transports ferroviaires, l'usine de ciment devait construire un silo, quand la quantité du scorie qui arrive d'un coup est beaucoup plus grand. Pour accélérer ce projet, la construction du silo était subventionné par la région comme infrastructure ferroviaire, le meilleur réponse au problème du "juste à temps", aussi décrit dans la documentation.
voici un de ces trains :