Débile ! pas le temps de descendre de l'autorail à cause de ce p.... de bourricot ! (mais non, pas de gros mot , faut lire : purée) et sur le quai, plus personne, rien , nada, tous partis derrière JeanLuc à chercher un Troquet Corrézien. En m'approchant du conducteur aidé par le contrôleur et le chef de gare fort affairés à extraire le bourriquet récalcitrant et braillard, je leur demande poliment : "Pardon messieurs auriez vous l'amabilité de bien vouloir me dire par ou son parties les pers..."
NON MAIS ! vous n'allez pas vouzimètre vouzaussi ! C'est à vous la bestiole ? parceque ya plus personne, celui qui reste il s'l'emporte ! A ces mots, n'écoutant que mon courage je pris la fuite en entendant des vociférations honteuses dans mon dos. Je trouvais refuge derrière trois wagons à l'arrêt. Heureusement pour me repérer dans cette gare assez vaste j'avais sur moi le plan des installations, ben oui c'est vrai cette histoire de dingues, la preuve, je vous le montre :
les céféra....toute l'histoire de mes grands parents.