un métier: cheminot

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Re: un métier: cheminot

Messagepar sncb_nmbs
07 Sep 2014, 08:53

Aldayo a écrit:Par contre, s'ils sont assez nombreux à la traction, ça se compte sur les doits d'une main à l'infra !!
Je suis le seul dans mon équipe de 80 personnes (idem dans mon ancien poste où l'on était 100)


Idem pour moi à la SNCB, où dans mon atelier de 200 gaillards, nous étions 2 et c'était bien les conducteurs qui étaient les plus férus pour les modèles réduits ! :ange2:
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Re: un métier: cheminot

Messagepar EC64
07 Sep 2014, 17:11

Si vous saviez le nombre de cadres et cadres supérieurs (même à l'Infra) qui s’intéressent au chemin de fer "façon passion" et/ou font du modélisme, y compris des Directeurs, vous seriez surpris !
Personnellement, je n'ai jamais fait état de mon intérêt "passion" pour le chemin de fer, certes mes collègues avaient bien remarqué mes connaissances supérieures à la moyenne et hors du domaine d'activité, mais c'est mon épouse qui a vendu la mèche lors de mon départ en retraite.....
On le découvre souvent une fois en retraite, au hasard d'une rencontre dans une expo, une association.....
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Re: un métier: cheminot

Messagepar sncb_nmbs
07 Sep 2014, 18:13

EC64 a écrit:Si vous saviez le nombre de cadres et cadres supérieurs (même à l'Infra) qui s’intéressent au chemin de fer "façon passion" et/ou font du modélisme, y compris des Directeurs, vous seriez surpris !
Personnellement, je n'ai jamais fait état de mon intérêt "passion" pour le chemin de fer, certes mes collègues avaient bien remarqué mes connaissances supérieures à la moyenne et hors du domaine d'activité, mais c'est mon épouse qui a vendu la mèche lors de mon départ en retraite.....
On le découvre souvent une fois en retraite, au hasard d'une rencontre dans une expo, une association.....


Pas faux, car on est souvent traité ironiquement de "bouffeur de rail" par les autres qui ne comprennent pas pourquoi notre passion :ange2:
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Re: un métier: cheminot

Messagepar Undertaker
07 Sep 2014, 21:01

Bonsoir,

Nous sommes au début de novembre 2005, pour un nouveau congrès Eurailspeed, cette fois-ci organisé à Milan. Pour l’occasion, VFE SNCF avait choisi de présenter un TGV R (VFE = Voyages France Europe, ex-GL pour Grandes Lignes, sans compter que maintenant ça doit encore avoir un autre nouveau label !). Mais pas n’importe quel TGV R ! Le TGV 508, un des tous premiers relookés Lacroix. Bien sur, un TGV bicourant qui ne marche pas en Italie, alors qu’on aurait pu lui substituer une motrice tricourant ce qui aurait bien évidemment évité l’envoi du « Barnum » d’accompagnement et une BB 67400 pour la nourrice électrique. De toute façon, c’était VFE qui décidait, le Matériel n’avait qu’à exécuter. Ceci dit, il faut que je tempère mes propos vis-à-vis du Barnum puisque c’était ma raison d’être sur ce genre d’opération. J’en avais d’ailleurs profité pour faire venir mon successeur afin qu’il voie sur le terrain.

Une fois avoir tout mis en place, à savoir la rame TGV à quai, la BB 67400 (c’en était une en livrée Corail +) et les câbles branchés, je dis au Cadre Traction (CTT) et à ses deux conducteurs : « c’est bon, tout est en place, vous pouvez mettre sous tension, je repars aux voitures. Vers 19h00, ne voyant rien venir, je suis allé aux nouvelles ; le CTT me dit : « il n’y a rien à faire, nous n’arrivons pas à mettre sous tension le TGV ». Alors, je lui répondis : « quand la 67400 enverra le courant du chauffage train, regarde bien le voltmètre de la motrice et dès qu’il monte à plus de 1000 V, tu lances illico la fermeture DJ ; rendez-vous à la voiture, à 19h30 on sert l’apéro » ! À 19h45, je vois enfin arriver mes trois lascars plus un des dépanneurs qui me disent : « ça y est, c’est bon, c’est sous tension ». « Ah, et comment as-tu fait » ? « Ben, comme tu as dit », me répondit-il… En fait, les pantos étant isolés pneumatiquement à cause de l’incompatibilité de la caténaire, ceux-ci ne peuvent pas monter. Or sur les TGV R, il y a un relais qui donne l’information « panto levé » et qui autorise la fermeture DJ. En utilisant la méthode d’anticipation de la procédure, on leurre ce fameux relais et la fermeture DJ est opérationnelle. Si non, il ne se passe rien !

En ce mois de novembre, le temps était maussade à Milan, avec une pluie fine qui dure…Alors, forcément les quelques visiteurs aux pieds humides laissaient leurs traces sur les plateformes d’accès. Puis, certains d’entre eux prenaient un café chaud au bar. Soudain, un groupe à très forte densité féminine, venant depuis les voitures de 1ère classe, fait irruption dans le bar. À peine avoir lâché un bonjour de circonstance, celle qui semblait être la dominante, à la vue de mon badge s’adresse à moi pour me signifier qu’il y a une tache sur la moquette marbrée de l’allée centrale de la remorque R2. Allons voir. Arrivés devant ladite tache, de la taille d’un auriculaire infantile, nous eûmes ce dialogue surréaliste :
- Ça doit être une tache de café, c’est à cause de la vente au bar !
- Madame, il n’y a pas que le café qui laisse des taches brunes au sol.
- Il faut faire nettoyer ça.
- Dans votre organisation, avez-vous prévu un nettoyage particulier pour le TGV ?
- Non, mais l’organisation d’Eurailspeed en a prévu un.
- Ah oui, je les ai vus. Ils sont deux et passent à tour de rôle dans chacun des trains exposés. Faudra attendre notre tour. De plus, vous savez Madame, ces gens-là ont un aspirateur qui ne se branche pas dans nos prises !
- Mais comment ! J’ai fait ajouter des prises partout.
- Comme je suis certain que vous passez fréquemment l’aspirateur chez vous, vous devez bien savoir que la puissance nécessaire à ce genre d’appareil ne convient pas à vos prises d’ordinateurs de 100 W.
- Mais pour le nettoyage dans les centres de maintenance, il a bien des prises pour aspirateurs !
- Ah, vous voulez parler de ces prises-là, au sol près des portes de salle. Mais vous savez, ce sont des prises industrielles et les prises domestiques de l’équipe italienne que l’on attend ne rentrent pas dedans. Ce qu’il faut, ce sont des adaptateurs. Or, des adaptateurs, j’en ai prévus trois ; et je ne les disponibiliserai que quand on me les demandera gentiment…
Je suis certain qu’elle m’a pris pour un gros con ; ce qu’elle ne savait pas, c’est que je m’en foutais éperdument.

Suite à cet épisode, je suis entré dans la résistance passive. Pour couronner le tout, en fin d’après midi, j’avais la visite de tout le staff de la Direction du matériel : le Directeur du CIM (mon ancien Chef de Département aux caisses locomotives), le Chef de Département des TGV, les Chefs de projets TGV présents et à venir, autrement dit tout le gratin de la Direction M. Tous avaient rejoint Milan en TGV Artésia, en deuxième classe, comme l’exige le règlement du personnel pour les voyages de service. Je suppose qu’ils avaient mis à profit les longues heures du trajet pour peaufiner les discours de leurs interventions aux sessions du congrès auxquelles ils étaient inscrits et, qu’ensemble, ils avaient discuté de l’avenir de l’Entreprise et de ses trains à grande vitesse. Pendant ce temps-là, les courges du markettage étaient venues en avion et partaient se remettre de leurs émotions au lounge de l’hôtel.

Au palais des congrès, la SNCF avait un beau stand sur lequel on parlait voyages, évasions, prestations et leurs tarifs ; en face, Alstom avait aussi un beau stand sur lequel on parlait technologie de la grande vitesse, export, nouveaux développements etc. Comme tout baignait dans le meilleur des mondes, je m’étais dit qu’à mon tour il me fallait faire le « sans faute ». Alors, j’avais convenu avec les italiens des FS que tous les jours, aux environs de midi, nous devions conduire la 67400 au plein gas-oil. Ce que nous faisions tranquillement en prenant ensemble notre déjeuner à bord de la Vru, avec un retour vers 15h00 pour remettre le TGV sous tension suivant la procédure à présent bien rodée.

Nous avons eu une cagade à gérer : c’est la première fois que j’ai eu à subir une panne de la B10c10ux avec ses contacteurs de chauffage HS. Alors, un collègue italien parlant le français auquel j’avais part de notre problème, a commandé un taxi en lui demandant de nous conduire au castobricoplus le plus proche. Nous avions fait comprendre au taxi de nous attendre ; j’ai fait confiance à mon cher José qui a chargé 10 radiateurs d’appoint, les fils, les prises, les boites de dérivation, i tutti quanti dans le Caddie. De retour à la voiture, lui et les deux dépanneurs nous ont concocté un circuit de chauffage de substitution dans la voiture-couchettes, du câblage et de la connectique sérieux, dans la pure tradition ferroviaire ! C’est le groupe électrogène de la Vru qui fournissait l’énergie. Le dernier après-midi de l’expo, une nana de VFE, surement animée d’une fibre corporatiste au –dessus de la moyenne, s’est pointée avec deux bouteilles de Champagne et des gobelets en plastique. Alors, je l’ai conduite vers notre Barnum où, avec les rampants du Matériel et de la Traction, nous avons trinqué ensemble dans des flutes en verre. Elle m’avait fait penser à la chanson de tonton Georges « toi l’hôtesse qui sans façons… ». Vers 22h00, notre convoi recevait une locomotive italienne pour quitter Milan. Au moment de brancher le câblot de chauffage, j’ai insisté pour que ce soit celui de la machine italienne qui soit connecté. Le CTT, a eu l’air surpris envers cette exigence ; je lui ai dit : « quand ils décrocheront leur loc., s’ils oublient de débrancher le câblot, ce sera leur problème, pas le nôtre. Il m’a répondu : « c’est du vécu » ? Mon hochement de tête lui a suffi, inutile de décrire l’aventure danoise. Avant de m’endormir, ma dernière pensée fut : « on va bientôt toucher le fond, la bateau coule normalement ». Arrivés au petit matin à Modane, il faisait -4°c, contents de la douce chaleur procurée par nos petits chauffages d’appoint dans notre dortoir.

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Re: un métier: cheminot

Messagepar Undertaker
07 Sep 2014, 21:09

J'ai supprimé mon précédent message et l'ai remplacé par celui ci-dessus, presque à l'identique. En fait, dans le 4ème §, j'avais écrit "les con...ses du markettage" que j'ai remplacé par "les courges du markettage". Sur le fond, ça ne change rien, mais sur la forme c'est nettement moins grossier. C'est en mangeant une pomme que ça m'est venu à l'esprit...

Bonne soirée à tous.

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Re: un métier: cheminot

Messagepar sncb_nmbs
07 Sep 2014, 21:38

Undertaker a écrit:J'ai supprimé mon précédent message et l'ai remplacé par celui ci-dessus, presque à l'identique. En fait, dans le 4ème §, j'avais écrit "les con...ses du markettage" que j'ai remplacé par "les courges du markettage". Sur le fond, ça ne change rien, mais sur la forme c'est nettement moins grossier. C'est en mangeant une pomme que ça m'est venu à l'esprit...
Bonne soirée à tous.
2B.


Ben oui, faut rester dans le politiquement correct, comme Arnaud Montebourg qui à propos d'une journaliste dans Envoyé Spécial a balancé cette phrase condescendante "Elle est toujours comme ça la petite?".

Faut mesurer le poids des mots, cher ami. :ange2:
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Re: un métier: cheminot

Messagepar Pierre bis
08 Sep 2014, 09:47

On sent de la désabusitude ( :mdr2: ) face à une entreprise qui évolue d'une manière qu'on n'attendait peut-être pas (euphémisme).

Ca me ramène aux échanges sur la passion des trains à la SNCF. Elle existe certainement encore et peut-être même certains qui ne l'avaient pas en arrivant peuvent-ils l'acquérir peu ou prou.

Je me posais sincèrement la question de savoir si elle est utile. Ca dépend certainement des domaines. Il y a deux ans j'ai rencontré dans une réunion de club utilsateur un employé chargé dans une filiale de la SNCF s’occupant je crois des projets à l’étranger d’un logiciel de suivi de projet sur lequel j’ai une grande expertise. J’ai parlé un peu de trains avec lui et, si le sujet l’intéressait (quand même !) il est fort probable que ma culture ferroviaire était supérieure à la sienne. En même temps ce que nous faisons est assez éloigné de métier de base et la gestion de projets informatiques se fait à 95% de la même manière dans une banque, une industrie pharmaceutique ou chez un transporteur. Il en irait de même pour bien des métiers « support » comme la comptabilité, voire les RH (là la culture d’entreprise doit quand-même être utile).

Par contre que des gens chargé d’élaborer l’offre à clientèle et l’avenir du transport ferré n’aient aucune culture générale du chemin de fer me parait plus gênant. Bien sûr beaucoup de choses évoluent et certains craignent sans doute que les amoureux des trains soit par nature trop conservateurs, mais j’ai quand même l’impression qu’on a plus d’idées quand on aime ce qu’on vend (c’est bien de ça qu’il s’agit pour le smarketteurs).
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Re: un métier: cheminot

Messagepar sncb_nmbs
08 Sep 2014, 11:20

Pierre bis a écrit:On sent de la désabusitude ( :mdr2: ) face à une entreprise qui évolue d'une manière qu'on n'attendait peut-être pas (euphémisme).

Ca me ramène aux échanges sur la passion des trains à la SNCF. Elle existe certainement encore et peut-être même certains qui ne l'avaient pas en arrivant peuvent-ils l'acquérir peu ou prou.

Je me posais sincèrement la question de savoir si elle est utile. Ca dépend certainement des domaines. Il y a deux ans j'ai rencontré dans une réunion de club utilsateur un employé chargé dans une filiale de la SNCF s’occupant je crois des projets à l’étranger d’un logiciel de suivi de projet sur lequel j’ai une grande expertise. J’ai parlé un peu de trains avec lui et, si le sujet l’intéressait (quand même !) il est fort probable que ma culture ferroviaire était supérieure à la sienne. En même temps ce que nous faisons est assez éloigné de métier de base et la gestion de projets informatiques se fait à 95% de la même manière dans une banque, une industrie pharmaceutique ou chez un transporteur. Il en irait de même pour bien des métiers « support » comme la comptabilité, voire les RH (là la culture d’entreprise doit quand-même être utile).

Par contre que des gens chargé d’élaborer l’offre à clientèle et l’avenir du transport ferré n’aient aucune culture générale du chemin de fer me parait plus gênant. Bien sûr beaucoup de choses évoluent et certains craignent sans doute que les amoureux des trains soit par nature trop conservateurs, mais j’ai quand même l’impression qu’on a plus d’idées quand on aime ce qu’on vend (c’est bien de ça qu’il s’agit pour le smarketteurs).


Jean Rédélé (le constructeur des voitures Alpine notamment) disait un jour : "On est meilleur quand on est passionné" et ton intervention explique bien ce qui ne va plus dans les entreprises en générale et dans les compagnies de chemins de fer en particulier. :ange2:
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Re: un métier: cheminot

Messagepar Pierre bis
08 Sep 2014, 11:39

Ton exemple me touche car concernant un domaine qui, quand j'avais dix ans, ma passionnait autant que les trains. A l'époque Alpine ferraillait contre Porsche en rallye et même, au milieu des années 60, en circuit.

Puis Alpine fut racheté par Renault et, au fil des politiques commerciales et marketing, la marque fut abandonnée alors qu'elle avait une notoriété et une image très forte chez les passionnés et même dans le grand public. 40 ans après les constructeurs français en général et Renault en particulier se torturent la tête pour essayer de "monter en gamme". Si la marque Alpine, et surtout son positionnement, n'avait pas été abandonnés sur les conseils des marketteurs des années 70/80, Renault n'aurait pas aujourd'hui à se demander comment lancer une marque premium, voire comment rescussiter ... Alpine. Mais rescussiter est beaucoup plus difficile que rester en vie, pour les marques comme pour les vivants.

Et en face, quid de Porsche? A l'époque il y avait un jeune ingénieur passionné de technique et de voitures qui officiait au service compétition. Il avait la chance d'être "de la famille" puisque neveu du fondateur Ferdinand Porsche. Il fut à l'origine des premières victoires au Mans avec la 917, voiture élue par plusieurs enquêtes "voiture de course la plus marquante du 20e siècle". Il s'appelait Ferdinand Piëch et fit ensuite carrière chez Audi ou il fut à l'origine des Quattro de Rallye et finit à la tête du groupe VAG dont on connait le succès aujourd'hui. Ce succès de VAG est-il lié au fait que le groupe à eu à sa tête un passionné (et un technicien)? Sans doute pas seulement mais j'ai la faiblesse de croire que ça a pu jouer.
Modifié en dernier par Pierre bis le 08 Sep 2014, 12:16, modifié 1 fois.
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Re: un métier: cheminot

Messagepar Ferro
08 Sep 2014, 12:05

Pierre bis a écrit:Et en face, quid de Porsche? A l'époque il y avait un jeune ingénieur passionné de technique et de voitures qui officiait au service compétition. Il avait la chance d'être "de la famille" puisque neveu du fondateur Ferdinand Porsche. Il fut à l'origine des premières victoires au Mans avec la 917, voiture élue par plusieurs enquêtes "voiture de course la plus marquante du 20e siècle".


Il faut également souligner que Ferdinand Porsche était un autodidacte, et à gravi les échelons en partant de rien.
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