manette-z a écrit:La 69000 a ses empattements de bogies, et de châssis bien différent des 67000. Elle est donc condamnée à la production artisanale. J'ai lu qu'un temps, Rennes devait en recevoir une trentaine, mais les 72000 les ont rayées de la liste.
Les 1100 et 62000 ont un potentiel vendeur, même si elles n'ont presque fréquenté que les dépôts. Une cote d'amour qui peut faire vendre, et un châssis unique pour de nombreuses versions.
Mais vu le conservatisme des marques (6500, 231G,...), j'y crois pas du tout. La prochaine annonce sera les BB MTE de retour, ou la série des 67000. Tant mieux pour les artisans, et vive le made in France.
J'espère que tu as tort et que personne ne se lancera dans un programme MTE car la Roco reste un des meilleurs modèles de la firme et même du modélisme HO. D'ailleurs, pour ce que j'en ai vu la Brassline, toute laitonne qu'elle est, ne la surpasse pas vraiment. A voir la Lematec à venir...
Car il ne suffit pas de refaire pour surpasser. Quelqu'un parlait des 63000 mais la Piko était inférieure à la Roco et ce que j'ai vu de la Oskar ne me semble pas enterrer l'autrichienne.
Ca vaut d'ailleurs la peine de faire un petit commentaire sur les "normes actuelles" du titre de ce fil. Si, sur les MTE Roco, on remplaçait certaines pièces de superdétail par de pièce en photogravure, je suis sûr qu'elles y seraient, aux normes actuelles. Déjà les nouveaux pantos ont bien amélioré l'engin.
Pour la 7100, objet de ce fil, c'est un peu différent. Je maintien que le Modèle Rivarossi est tout à fait "correct", pour employer l'adjectif qui m'avait fait réagir, et d'ailleurs Manette-Z a montré dans LR qu'il était améliorable. Seulement d'une part Rivarossi n'a jamais fait que la version des années 50 (mêmes pas 60) et 'autre part il paraît que le moule est HS. Donc il y a quand-même un créneau pour une nouvelle version.
Maintenant comme finalement beaucoup j'attends des automotrices mais ce serait l'onjet d'un autre fil.
Une brute qui tourne en rond ne va pas plus loin que deux intellectuels assis (Michel Audiard revisité)