En pleine réflexion sur la digitalisation de mon futur autorail VH, je me pose la question des règles d'usage de l’éclairage intérieur des autorails, principalement les modèles ayant circulaient jusqu'à la fin des années 60.
L'éclairage du compartiment voyageur ne me pose pas problème.
En revanche, qu'en étaient-ils des compartiments conduites?
Le mécanicien avait-il possibilité d'allumer son compartiment de conduite? J'imagine que oui, sinon, comment conduire dans des conditions de nuit ou d’obscurité?
Mais alors, à l'instar de ce que suggèrent les décodeurs du commerce sur les modèles DCC, l'éclairage se coupait-il une fois les premiers tours de roues réalisés?
La, j'en doute. Car autant sur un matériel moderne, le pupitre et les commandes sont complètements allumés, mais pas sur un matériel ancien comme le VH pour ne citer que lui.
J'ajouterais que dans le cas du VH, le poste de conduite d'une des extrémités fait partie intégrante du compartiment voyageur, donc impossible pour le mécanicien de s'isoler de la lumière.
Le but de cette réflexion est pour moi de coller au mieux à la réalité dans la phase de programmation du décodeur (réalisée par Mr DE BASTIANI).
Donc, pour résumer:
- Soit les postes de conduites des 2 extrémités sont allumés en même que le compartiment voyageur
- Soit L'éclairage des poste de conduites est allumé en fonction du sens de marche, et s'éteint après quelques secondes de roulement (comme nous ont habitués les constructeurs sur leurs versions HO)
- Soit je commande chaque zone d'éclairage par une fonction, conduite extrémité 1, conduite extrémité 2, compartiment voyageurs.
- ou enfin, et je penche pour cette solution dans mon cas, et dans mon imaginaire d'exploitation du VH, je commande séparément uniquement l'éclairage du compartiment moteur, donc qui ne serait allumée que lorsque l'autorail circule "coiffe" en avant, et l'autre extrémité est systématiquement allumées avec le compartiment voyageur....
Dans l'attente de vos commentaires éclairés
sur le sujet.Merci par avance.
Yohann
