Forum Train

Bonjour,
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Pourriez vous me dire si parmi vous quelqu'un possède une 78 Fleischmann que se soit sous DB ou Sncf c'est du pareille au même !
J'ai une Fleischmann 407872 DC Sound Decoder. J'ai un soucis de fils entre les essieux.
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Comment démonte t-on la partie du dessous là où il y a le champignon de contact (pour l'indice) ??
Je ne trouve nulle part sur le net comment faire, même sur l'éclaté, cela n'est pas expliqué ! Une aide sous photo serait bienvenue pour comprendre comment démonter sans rien casser.
Merci.

Je n'ai pas ce modèle, mais la 232 TC SNCF ancien modèle. Donc sous réserve : il faut retirer la vis noire qui maintient la carrosserie, puis il y a plusieurs clips de maintien et les sabots de frein qui bloquent un peu (donc les roues ont tendance à venir avec). Il y a aussi les fils qui restent soudés sur les palpeurs rivetés sur cette plaque. Donc il faut leur laisser un peu de mou par le dessus. Le champignon reste solidaire du châssis en zamac et passe au-travers de la plaque en plastique.
Je ne pense pas qu'il y ait eu beaucoup de modifications sur cette machine sous la marque Fleischmann, donc ça doit toujours être comme ça sur celle-ci.

Bonsoir,
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J'ai une question à la suite de votre analyse, quand la caisse est retirée, admettons on laisse la 232 sur ses roues au sol, puis on porte le regard, par en haut, la vis qui maintient les embiellages ; Est-elle solidaire attenante à la platine des sabots de freins en dessous ?
-- Où elle n'a rien avoir avec cette platine ?
-- Si elle n'a rien à voir, la platine n'est que clipsée au châssis de la 232 ?
-- Est-ce normal que ce soit si dur à enlever, car on sent de la résistance !
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Merci de me dire et de votre aide.

La seule vis qui fait obstacle est celle qui retient la caisse au châssis. Donc si la caisse est déjà retirée, il n'y a plus que les clips et les sabots, mais aussi les fils. Si les fils sont tendus, il est impossible de retirer cette plaque. Mais ça résiste de toutes façons tant que les clips ne sont pas délogés. J'ai eu beaucoup de mal aussi à l'époque, et je croyais que cette plaque était rivetée en même temps que les lamelles.
Au pire, je peux essayer de refaire l'opération. Mais il faut que je ressorte cette loco de sa léthargie, donc ce soir éventuellement.

Vous m'obligeriez !
Si cela ne vous ennuie pas, éventuellement pourriez apporter un quelconque cliché du lieu de ses clips tenaces au châssis.
Vous en remerciant par avance.
Excellente fin de soirée.

En fait, j'ai mélangé 050TA et 232TC dans mes explications plus avant
MAIS, car tout n'est jamais noir, je possède aussi la BR 78 510 (et sans zincpest !)
Donc, c'est quasi-pareil que la 050 (mais pas de rivets ni de sabots qui gênent ici) :


Les 4 ergots.


On écarte avec une lame de cutter protégée par un bout de scotch (pas invité sur la photo) après avoir retiré l'essieu (c'est plus facile et moins risqué). Idem à l'avant des deux côtés.
Attention, il y a très peu de mou sur les fils des bissels, donc il vaut mieux retirer la vis qui les maintient, au moins sur le bissel arrière (mais moi j'ai fait l'avant ). Là où on libère le bissel, pas besoin de retirer un essieu, évidemment.


Voilà à quoi ressemblent les ergots.
Attention aux lamelles, surtout arrières, au remontage : très délicates à placer derrière l'essieu, et il faut commencer par l'avant de la machine.

Bon bricolage et bonne...nuit

Bonjour l'ami-BB67300,
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j'aime ces gens partant sans piolet ni corde ascendante à l'assaut du K2 à la nuit tombante.
Effectivement, enfin !!! Je vois comment m'attaquer à cette mission suicide . Je vous remercie d'avoir pris sur vous, au risque d'abimer la votre pour ce savant tuto !
Les explications sont claires, dés lors, je vous mettrais pareille cliché de ma bête obstinée ! Une fois démontée, pour résoudre cette misère déconnectée chez moi.
Très bonne journée à vous.