Bon, ce beau fourgon M n'est pas chez nous mais à Limoges.
Apparemment, ils manquent de tout, à Limoges : pas de poêle dans le fourgon, et pas de poil dans la main.
Oui, c'est facile..; ce n'est pas de moi, les coupables se reconnaitront, nous on est pas des balances, et encore, j'ai censuré.....
Au TdM, il y a 8 fourgons M modifiés par CFTA Gray à l'époque, et T&T en a acheté un certain nombre : il doit d'ailleurs en arriver quelques uns : ce sont les derniers qu'il est prévu d'acheter, ce qui fera 16 en tout : certains vont être modifiés, beaucoup moins complètement que ceux de Gray : disons que nous voulons en modifier quatre comme ceux de la CITEV, dans une démarche "constitution d'une deuxième rame".
fourgons m modifiés CITEV
Ils ne seront pas peints genre "rame de St Germain"
Dans un tout autre genre, travaillé hier avec notre membre Matthieu, bénévole Cf d'Anse, bénévole P17, ancien salarié Abreschwiller, et salarié maintenant du Vivarais, ou il a assuré l'essentiel du remontage de la MALLET 403.
Et que faisions nous ensemble hier ?
Nous apprenions à réguler un coussinet : il y a eu un stage commun CFBS / Vivarais à St Valéry : très intéressant, et beau résultat.
préparation
Une EXCELLENTE idée.
Disons que certains poètes étaient un peu écrasés à penser que cela avait du être fait des tas de fois en ces lieux, mais pas correctement depuis au moins 50 ans.
Avec un étamage réussi (accroche de l'anti-friction), l'autre élément-clé dans la réussite: le suivi précis des températures.
Les sondes de température alliées à l’information sur les températures idéales permettent un résultat qu’il devait être bien difficile à réaliser « autrefois » avec une telle précision et une telle régularité : l’aspect alchimie s’estompe au profit de la régularité dans la fiabilité.
Exécution
A refaire sur un réseau dans un cadre "stage UNECTO" ?
Le kit complet de matériel coûte vers 2500 €, et la formation autant.
Dix stagiaires et un atelier avec machines outils pour analyser (non destructivement, je précise) la pièce qui vient d'être réalisée sont nécessaires.
Bravo au CFBS et au Vivarais de réintégrer ainsi des savoir-faire perdus.
Et
Vive le Chemin de Fer !