tyrphon a écrit:Avertissement: Aujourd’hui, beaucoup de texte et pas beaucoup d’images, pour raconter la galère de ce début de Jeudi 24 février 1977. Ne vous inquiétez pas, à partir du prochain message, vous aurez droit à un bouquet final de photos. Si vous êtes allergique à la lecture, attendez donc la suite.
Pas du tout allergique à la lecture,
Tyrphon, je n'en ai pas manqué une ligne. Bien au contraire je prends autant de plaisir à lire tes textes qu'à regarder tes photos et j'apprécie ton sens de l'humour,
comme celui d'autres membres du forum d’ailleurs. En revanche, quand c'est mal écrit et qu'il faut relire à haute voix pour essayer de comprendre, j'y mets moins d'enthousiasme. Non, je ne donnerai pas de nom et je ne compte pas m'immiscer dans les discussions d'un fil voisin sur notre belle langue française, mais j'apprécie quand c'est bien écrit, même si je fais moi-même encore trop de fautes.
Presque trois semaines de vacances (sans internet ni téléphone
) : il m'a fallu quelques heures pour prendre connaissance de tout ce qui avait été publié en mon absence.
Linha do Tamega (Livração–Amarante–Arco de Baúlhe): en 1973, nous étions passés en voiture à Amarante mais n'avions pas eu le temps de parcourir la ligne. Les services voyageurs étaient depuis 1948 essentiellement assurés par les autorails Nohab ME 101 - 103 (plus tard 9101 - 9103, mais je vous fais grâce de la numérotation UIC, qui me semble parfaitement incongrue sur du matériel à voie étroite qui, par définition, n'est guère susceptible d'assurer des trains internationaux!) mais la traction vapeur assurait encore des trains mixtes et/ou marchandises au moins jusqu'à la fin des années septante. Il faut que je retrouve mes notes de voyages mais c'est un an ou deux après votre passage en gare de Livração que j'ai parcouru toute la ligne en MV, remorqué par une loc Mallet 020+020T série E 161 - 170.
A noter que cette ligne a été ouverte par sections de 1909 à ... 1949! Et que, comme celle du Sabor, elle n'est jamais arrivée au terminus envisagé au départ.
Il est vrai qu'à l'époque il n'était pas facile de se procurer des informations fiables. Les amateurs anglais semblaient en général en savoir un peu plus, mais ils étaient (et sont toujours) beaucoup plus nombreux!
Encore merci pour ce récit passionnant d'une escapade assez mouvementée.
242TE66