Petite histoire de la DRG

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Re: Petite histoire de la DRG

Messagepar Rockandrail
12 Nov 2008, 00:56

XTof_vl a écrit:Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum Boum

Mais si si, continue!


C'est fait. J'ai rédigé la première. :apero:
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Re: Petite histoire de la DRG

Messagepar Rockandrail
12 Nov 2008, 23:32

H80


Deuxième partie suite – les locomotives à vapeur de la DRG


Chapitre 3 – Les locomotives de type G ou Güterzuglokomotiven


3-1) Les locomotives provenant des anciennes compagnies

Les locomotives de type G provenant des anciennes compagnies sont réparties en huit séries numérotées de 52 à 59

La série 52 ne compte qu’une seule locomotive de type 1’B (120) *
La série 53 regroupe les locomotives de type C (030)
La série 54 regroupe les locomotives de type 1’C (130)
La série 55 regroupe les locomotives de type D (040)
La série 56 regroupe les locomotives de type 1’D (140)
La série 57 regroupe les locomotives de type E (050)
La série 58 regroupe les locomotives de type 1’E (150)
La série 59 ne compte qu’une seule locomotive de type 1’F (160)

* Nous verrons que le numéro 52 sera réutilisé pour désigner une locomotive unifiée construite pour la guerre, toutes les III b ayant été radiées entre-temps.

3-1-1) La série 52

La série 52 ne comprend qu’un modèle de locomotive au type 1’B

3-1-1-1) Les locomotives de série 52 d’origine saxonne

3-1-1-1-1) Série 5270 – anciennement sä. III b

On trouve sous le numéro 52 7001 dans le plan de numérotation définitif de la DRG, en 1925, une locomotive 1’Bn2 ayant appartenu aux anciens chemins de fer de l’Etat de Saxe qui n’était pas initialement destinée à être immatriculée comme locomotive G pour le trafic des marchandises. On trouve déjà noté dans le volume 1 des archives des locomotives à vapeur que la série DRG 3477-78 (sä. III b) regroupait des locomotives provenant de plus de 20 fabrications, différent parfois significativement les unes des autres. Nous avons eu l’occasion de passer en revue ces locomotives au chapitre précédent.
Les locomotives de catégorie III et III b étaient des locomotives pour le transport régional de voyageurs, des types « P » (les deux étant des locomotives 1B, la III b avec un essieu porteur mobile toutefois). Le diamètre de leurs roues motrices, 1560 mm, les désigne également comme telles.

Les chemins de fer de l’état de Saxe prirent possession de ces locomotives à partir de 1871, encore avec l’essieu porteur rigide. De 1871 à 1874, Hartmann allait livrer 66 machines et Keßler à Esslingen 21 machines.

Les locomotives livrées par Esslingen se différenciaient notamment de celles de Hartmann par les coffres de roues et par un dôme au sommet plat. Les Esslingen n’étaient également timbrées qu’à 8,5 bars quand les Hartmann timbraient 10 bars. Leur puissance en était naturellement moindre. Les deux constructions allaient recevoir plus tard le bissel Nowotny dont la remise en ligne était assurée par des clavettes. Il avait fait ses preuves en pratique avec l’avantage de ne pas augmenter la longueur hors tout des locomotives, de sorte que les plaques tournantes existantes pouvaient être utilisées.

Une seule machine de construction Esslingen parvenait à la DRG qui, pour des raisons qui n’ont jamais été élucidées, la classait comme locomotive de type G pour marchandises. Il s’agit de la locomotive portant le numéro d’usine Esslingen 1329 (année 1874) qui avait porté le numéro 293 aux chemins de fer de l’Etat de saxe et reçut le numéro 52 7001 à la DRG.

Bien que quelques locomotives de catégorie III b se trouvaient encore dans la catégorie P à la DRG jusqu’en 1929/1930, elles n’apparaissent plus dans l’inventaire de 1924 de sorte que les indications à propos de leurs états de service sont manquantes.

La machine Esslingen était admise à une vitesse en service de 55 km/h. Elle a été radiée peu de temps après son intégration par la DRG


Catégorie : 1’Bn2
Distribution : G23.13
Diamètre des roues motrices : 1560 mm
Vitesse maxi : 75 km/h
Fabricant : Esslingen
Première mise en service : 1874
Tender : sä. 3T5,65 avec 4,5t de charbon
Nombre total construit : inconnu
Nombre intégré à la DRG : 1
Numérotation : 52 7001
Dates de réforme : 1924

BR52 7001.jpg
Sä. III b numéro 280 DOHNA (Esslingen 1322/1874) Cette locomotive n’est pas l’exemplaire qui deviendra la BR 52 7001 (numéro 287 puis 293) mais elle est identique.
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Re: Petite histoire de la DRG

Messagepar canari
13 Nov 2008, 00:10

Eh bien dit donc :!: c' est un long roman, c' est une belle histoire... :applause: :applause: :applause:
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Re: Petite histoire de la DRG

Messagepar POMidi
14 Nov 2008, 16:35

Tout à fait cela :applause: :applause: :applause:
La saga est repartie :cool: :cool: :cool:

La suite, La suite

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Re: Petite histoire de la DRG

Messagepar Rockandrail
15 Nov 2008, 20:25

H81


3-1-2) La série 53

La série 53 comprend 9 modèles de locomotive et quelques dérivés au type C

3-1-2-1) Les locomotives de série 53 d’origine prussienne et de l’Oldenbourg


3-1-2-1-1) Séries 530 et 5310 - anciennement pr. G42 et old. G42

Schichau avait livré aux chemins de fer prussiens en 1880 leur première locomotive compound. C’était une locotender 1A avec compartiment à bagages intégré, qui avait été mise en service par la Direction Royale des Chemins de Fer (KED) de Hanovre. Le même KED de Hanovre commandait encore à Henschel en 1882 deux autres locotenders compound de même distribution. Ces locomotives fonctionnant de manière satisfaisante, l’on décida également de construire des machines compound à tender séparé.
Le fait que ces expériences se passent dans le secteur de la Direction Royale de Hanovre n’était pas dû au hasard mais découlait directement de l’action de von Borries.

C’est ainsi que jusqu’en 1899, 700 machines compound de type C pour trafic marchandise, de catégorie G42, allaient être construite sur un modèle semblable à celui des machines bicylindres G3 et G41, mais en recevant d’entrée une chaudière timbrée à 12 bars.

On trouvait le même type de locomotive auprès d’autres administrations de chemins de fers allemandes : les administrations d’Alsace-Lorraine, de l’Oldenbourg, du Mecklembourg et les chemins de fer de Prusse du sud-est (Ostpreußische Südbahn), compagnie privée jusqu’en 1903 possédaient de telles locomotives.

Aux chemins de fer de Prusse, les G42 reçurent les numéros 3801 à 4000. D’après le cahier des charges, les machines atteignaient 55 km/h sur le plat au crochet de 670t. Elles tractaient 800t à 30 km/h en rampe de 3‰ et 580t à 25 km/h en rampe de 6‰. Dans les années 1880, la vitesse moyenne d’un convoi de marchandises était de 30 à 35 km/h. Il n’était pas rare que dans les gares secondaires, la locomotive du train même assure également le triage.

+-+-+-+-+-+-+-+-+-+


Les machines G42 différaient assez peu de leurs cousines à simple expansion. On expérimentait sur ces machines un système d’ancrage mobile pouvant être réajusté pour compenser les différences de dilatation entre la chaudière et le foyer. Deux problèmes le faisaient cependant vite abandonner : il ne pouvait se régler qu’à froid et se bloquait rapidement à cause du tartre. On trouvait également sur certaines G42 un système qui permettait d’utiliser la vapeur s’échappant des cylindres pour préchauffer l’eau d’alimentation provenant du tender.

Sur les premières versions, comme sur la G3, le dôme était juste derrière la cheminée. Des versions plus tardives auront le dôme au centre de la chaudière.

+-+-+-+-+-+-+-+-+-+


Des 758 machines construite pour les chemins de fer de l’état de Prusse, la DRG intégrera 25 locomotives sous les numéros 53 001 à 53 025. La plus ancienne des machines intégrées, la 53 001, avait été livrée par Schwartzkopff en 1891 sous le numéro d’usine 1910. Sur les 25 machines, 10 provenaient de chez Henschel, 5 de chez Schwarzkopff, 4 de chez Schichau, 3 de chez Vulcan et une de chez Borsig-Grafenstaden.

Parallèlement aux livraisons faites à la Prusse, l’Oldenbourg prenait possession entre 1895 et 1905 de 18 locomotives semblables livrées par Hanomag. Elles étaient les premières locomotives construites spécifiquement pour le trafic marchandises commandées par l’Oldenbourg. Les premières versions (53 1001 à 53 1003) différaient des prussiennes par l’absence de dôme. Le sifflet et les soupapes de sécurité Ramsbottom n’étaient pas non plus disposées juste en avant de la cabine de conduite mais à hauteur du premier anneau de la chaudière, au droit du troisième essieu accouplé.
Elles étaient accouplées au tender old. 3T12 et autorisées à 45 km/h en service. Des livraisons plus tardives (à partir de 1907) étaient équipées du séchage de vapeur Ranafier.
Les 18 machines de la première livraison portaient des noms de villes françaises et les numéros 102 à 106, 117 à 122, 153 à 159 et 165 à 166. La DRG en avait intégrées trois provenant des années 1895 – 1905 (53 1001 à 53 1003) et huit de conception 1907 – 1909 (53 1051 à 53 1058). En 1932, les dernières machines prussiennes comme de l’Oldenbourg, étaient radiées.

Catégorie : Cn2v
Distribution : G33.14
Diamètre des roues motrices : 1340 mm
Vitesse maxi : 55 km/h (pr.), 45 km/h (old.)
Fabricant : Henschel – Hanomag principalement
Première mise en service : 1882 (pr.), 1895 (old. 1), 1907 (old.2)
Tender : pr. 3T10,5 avec 4,t de charbon / old. 3T12 avec 4 puis 5t de charbon
Nombre total construit : 758 (pr.), 18 et 8 (old.)
Nombre intégré à la DRG : 25 (pr.), 11 (old.)
Numérotation : 53 001 à 53 025 (pr.), 53 1001 à 53 1003 ; 53 1051 à 53 1058 (old.)
Dates de réforme : 1932

BR 53 -0.jpg
Pr G4-2 (BR 53-0)
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Re: Petite histoire de la DRG

Messagepar decstef_be
16 Nov 2008, 13:47

Aaahh quel homme ... comme j'aimerais être LUI ! :coeur1:
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Re: Petite histoire de la DRG

Messagepar La Mouette
16 Nov 2008, 13:58

Qui lui ?
Ben vous !
Ah ! Lui ! :mdr:
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Re: Petite histoire de la DRG

Messagepar XTof_vl
16 Nov 2008, 15:35

La dernière photo montre une locomotive étonnante: le porte-à-faux arrière est inhabituellement long!

Eux, c'est eux, nous, c'est nous (l'aventure c'est l'aventure)
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Voyou!


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Re: Petite histoire de la DRG

Messagepar Rockandrail
16 Nov 2008, 16:09

Ascétisme prussien: le chauffeur et le mécanicien étaient très maigres! :mdr:
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Re: Petite histoire de la DRG

Messagepar Rockandrail
16 Nov 2008, 19:00

H82


3-1-2-1-2) Série 533 - anciennement pr. G43

Bien que les chemins de fer de l’état de Prusse se soient tournés dès les années 1893 – 1895 vers des locomotives à quatre essieux accouplés pour le transport de marchandises (les catégories G71 et G72 datent de ces années), ils choisissaient en 1903 de revenir à la conception d’une machine à trois essieux accouplés.
L’on disposait certes en grand nombre de locomotives de cette catégorie (G3, G41et G42) mais leurs puissances au crochet et leurs vitesses maximales ne suffisaient plus. Les nouvelles locomotives devaient afficher des capacités motrices largement supérieures et, à côté su service express de marchandises, être également aptes à tracter des trains de voyageurs régionaux.

Par comparaison avec les premières locomotives normalisées pour le trafic marchandises, les nouvelles machines, classées dans la catégorie G43, devaient mettre en application les progrès réalisés.

Les G43, bien que plus courtes de 275 mm que les G41, avaient un empattement plus long de 300 mm. L’entraxe de 2000 mm entre le premier et le deuxième essieu accouplé avait été conservé pour pouvoir maintenir un entrainement suffisamment long, mais on avait reculé le troisième essieu de 300 mm. La chaudière était surélevée de 415 mm. Malgré cela, le foyer est encore situé en contrebas entre les barres du châssis. Le troisième essieu accouplé ne se trouvait plus devant le foyer, comme sur les G41 et G42, mais sous celui-ci.
Pour pouvoir installer les cendriers, le système de répartition des masses allait être modifié.
Le levier de compensation transversal, installé jusqu'ici au dessus du troisième essieu accouplé, était déplacé au dessus du premier ; les leviers de compensation longitudinaux se trouvaient maintenant par conséquent entre les premiers et deuxième et entre les deuxième et troisième essieux accouplés. La G43se trouvait ainsi dotée d’une suspension à trois points.

Tout comme la G42, la G43 était une machine bicylindre à double expansion dont les alésages avaient été augmentés de 450 à 460 et de 650 à 680 mm. Elle était équipée d’un embiellage Heusinger, encore unique pour l’époque.
Pour utiliser pleinement la capacité de charge par essieu de 15t, et pourvoir charger à plein le dernier essieu, la machine était équipée de boîtes d’essieux en acier moulé.

Les locomotives de cette catégorie utilisées pour le service des voyageurs avaient également reçu des compresseurs bien qu’elles ne comportassent pas encore de freins. Ce n'est que plus tard que les deux derniers essieux seront freinés ; d’un seul côté.

La vitesse maximale admise, d’abord fixée à 50 km/h, était portée à 60 kmh. La machine se révélait capable de tracter 1030t à 45km/h sur le plat et 650t à 55 km/h. Elle tractait encore 515t à 35 km/h en rampe de 5‰ et 395t à 25 km/h en rampe de 10‰.
La G43 se révélait très satisfaisante dans son comportement général et surpassait de loin les autres locomotives de catégorie C.

+-+-+-+-+-+-+-+-+-+-+


Les premières locomotives étaient livrées en 1903 par les fonderies unies (Union Gießerei ) de Königsberg. Ce ne sont cependant que 58 machines qui seront livrées jusqu’en 1907. Bien qu’étant une machine moderne, la G43, avec seulement trois essieux moteurs accouplés et une adhérence de 45t, arrivait trop tard. La construction des premières locomotives avait été initialement projetée pour l'année 1901 (et décalée sur demande de Garbe), mais à ce moment là déjà, les performances et la vitesse annoncées étaient dépassées. La G8 construite dès 1902, avec ses quatre essieux accouplés, avait déjà une vitesse maximale de 55 km/h pour une adhérence de 58,5t.

+-+-+-+-+-+-+-+-+-+-+


La G43 fut principalement utilisée en en Poméranie et en Prusse Orientale, donc en plaine, et partagée entre les Directions de Stettin et Königsberg.

La DRG intégra 27 machines sous les numéros 53 301 à 53 327. Toutes les machines sortaient des fonderies unies de Königsberg. La plus ancienne des machines intégrées par la DRG datait de l’année 1903 (numéro d’usine 1293), les deux plus récentes de 1907. Après moins de trente années de service, les 27 locomotives étaient radiées à la fin des années vingt.


Catégorie : Cn2v
Distribution : G33.15
Diamètre des roues motrices : 1350 mm
Vitesse maxi : 60 km/h
Fabricant : Union Gießerei
Première mise en service : 1903
Tender : pr. 3T10,5 avec 4t de charbon
Nombre total construit : 58
Nombre intégré à la DRG : 27
Numérotation : 53 301 à 53 327
Dates de réforme : fin des années vingt

BR 53 -3.jpg
pr. G4-3 n°3895 Hannover (Union 1428/1906)


BR 53 -3 Fleischmann 4124.jpg
Modèle Fleischmann H0 n° 4124 de la BR53-3


Ce modèle très ancien est encore très correct sur le plan de la reproduction. Mais où diable sont-ils allés chercher son immatriculation « 53 7752 » qui ne correspond à aucune série 53 ayant existé ?
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