tyrphon a écrit:Un bon avion de guerre n'est pas un avion de tourisme, et certains des meilleurs étaient très casse-gueule au décollage et à l'atterrissage, ou prompts au décrochage. Il leur fallait des pilotes expérimentés.
Lire les description faites par J. Clostermann de sa prise en main d'un Thunderbolt ou d'un Typhoon (alors qu'il avait des heures et des heures sur Spit). Le Tempest devait être aussi assez coton dans les phases plus critiques pour ses bouzins sur-motorisés que sont le décollage et l'atterrissage !