. Il ne lui manque plus, sauf erreur de ma part, que les jolis "cerclages" en laiton poli autour des cylindres, à moins qu'ils ne soient perdus, ou estompés par la qualité du film... 
Sacré paradoxe aussi que de voir ensemble et en état de marche
justement ces deux machines-là que beaucoup, depuis longtemps, ont pu croire perdues : la 24 qui fut longtemps exposée en monument sur l'Isardrôme à Tain-l'Ermitage et la 101 réputée "usée jusqu'à la corde" (expression entendue dans les années 70...), puis ayant fait l'objet d'un début de restauration inachevé sur lequel couraient des rumeurs alarmantes. La préservation du matériel ancien prend parfois des voies détournées et inattendues... 
Un grand merci et chapeau bas à tous ceux qui, sur le VFV et ailleurs (je pense, entre beaucoup d'autres, à un certain De Dion 201 qui revient de très loin...
), agissent au lieu de se lamenter ! 
