Pour en revenir au sujet initial, il convient de faire le bilan de cette transformation.
Coté digitalisation pure l'objectif est atteint: l'autorail est pleinement fonctionnel avec les éclairages arrière et avant indépendants.L'intensité de l'éclairage intérieur et bonne, voir un peu forte. La luminosité des feux rouges me parait réaliste, c'est à dire plus faible que sur certains modèles tels les ABJ Electrotren. En ce qui concerne les phares je trouve cela un peu faible. Je vais donc remplacer la R de 4,7 K? par des 2,2 K? : la commande est en cours à Courbevoie.
Le problème qui se pose n'est pas lié à la digitalisation mais au gabarit de l'autorail. Non seulement la caisse baille mais en plus le dessous de châssis s'enclique mal se qui fait encore perdre 1 ou 2 mm pour la gabarit bas.
Résultat l'autorail frotte sur le talus du ballast dans les courbes avec dévers et reste coincé sur un raccord de pente sur ma voie unique. Le talus du ballast cela peut ce rectifier, la reprise de la rampe à la sortie de la gare et du pont qui la suit, c'est plus embêtant.
Pour revenir sur ces 2 points il faut noter que ces imperfections sont corrigés d'origine par des points de colle qui évidement sautent quand l'on démonte. Ces ajustages aléatoires ne sont pas sérieux et, pour moi, confirme le manque de contrôles qualités qui caractérise cette marque. Après les roues voilées des CC 65000 et les problèmes de peinture sur le même panoramique, c'est beaucoup. Dommage car les modèles sont bien choisis, bien gravés et semblent bien étudiés par ailleurs.
Bonne nuit à tous
Pierre
La chapelon Roco "Musée" équipée "ESU Inside" roule parfaitement en analogique et en Digital. 
