Problème en matière de secondaires français : le châssis n'avait pas de poinçon, les éléments usuellement marqués étant les essieux, la chaudière et le mécanisme.
On ne s'intéressait qu'au suivi des éléments permutables entre eux au niveau des ateliers.
La cabine portait souvent un numéro de construction, mais ce n'est pas toujours le cas : cf Piguet...
Et pour les machines ayant été récupérées par l'organisation TODT durant la dernière guerre mondiale, il y a avait parfois un affreux mélange, au point que certaines locomotives se retrouvaient avec un jeu d'essieux complètement incompréhensible, et parfois sans rapport avec la locomotive !

Mais pour revenir à Pinguely, personne n'a de document sous le coude ? Je me sens seul
