Le Train des Mouettes

[Panama]

L'ARME FATALE
Comme chez T&T on fait les choses en grand, quand on a deux essieux et deux bogies à ranger, bon, on rentre un plat à essieux, et après on les range dessus.

Le plat transport d'essieux arrivé ce vendredi 7 mars à Chaillevette

En plus cela fait TOP dans un convoi marchandises.
Bon, chacun son truc...

GRAND merci à ceux qui ont œuvré !
Justement, vous voyez bien le pylône de réverbère, derrière :
AVIS : nous cherchons six gamelles d’éclairage de récupération à reboulonner sur ces poteaux : L'électricien avec nacelle qui va bien est déjà disposé à venir nous les poser gratis : on attends juste que vous nous les trouviez : ainsi vous verrez mieux le wagon à essieux la nuit...

Et aussi : Valentin, pour charger les essieux, viens faire une séance d'haltérophilie : Marmichou viendra photographier...
Vive le Chemin de Fer !

[KM 506]

Bonjour,

Je me demandais justement ce que pouvait signifier P.St.E.V. Merci Panama pour cette précision.

Pour continuer dans l’archéologie ferroviaire et en revenir au curieux bogie diamond équipé d’un frein à main, voici ce qui pourrait être son ancêtre, même si l’usage était différent : les tous premiers wagons de terrassement étaient équipés d’un système de frein très ressemblant, comme on peut le voir ci-dessous sur ce dessin de Charles Armengaud issu de son ouvrage « L’industrie des chemins de fer » publié en 1839, avec le texte explicatif. Par contre je ne sais pas comment se tenait l’agent qui manœuvrait ce frein.

Pour le bogie diamond, la présence du marchepied évoqué par chtirentais laisse penser qu’il s’agirait plutôt d’un frein « à pied » que d’un frein à main. On ne le voit pas sur la photo, mais y aurait-il une barre sur le châssis pour se tenir ? Serait-ce un wagon qui peut se laisser entraîner par gravité sur une faible pente d’une exploitation forestière par exemple, avec un agent debout sur le marchepied pour assurer le freinage de l’autre pied ? Auriez-vous une vue d'ensemble du wagon en question ?

[chtirentais]

salut KM 506

quand est ce que l'on te revoit à bord du train des mouettes ?

[Panama]

Et le 71008 ?

Vous savez qu'au TdM nous avons acquis le BB 71008.
Il a été remotorisé par Desbrugères à Noyon, devenu GEMAFER puis aujourd'hui VFLI Noyon avec un CUMMINS KT19.
Bien que ses réservoirs d'air soient récents et proviennent du fabricant national bien connu, le changement de propriétaire de l'engin impose une ré-épreuve des réservoirs, et donc leur démontage.

Opération obligatoire mais quel est son sens ?

Voici donc deux photos des opérations en cours.
D'autres éléments concernant le 71008 arrivent, grâce à Bergün qui n'est donc pas sur les photos puisque c'est lui qui les fait !
Vive le Chemin de Fer !

[Progrès]

Au plaisir de te revoir KM !

[Bergün]

D'autres éléments concernant le 71008 arrivent, grâce à Bergün qui n'est donc pas sur les photos puisque c'est lui qui les fait !

En effet : deux des bielles de ce pédalo ont également été remises en place. Les boites de roulement sont de petits aquariums (oleariums plutôt) qui laissent parfaitement voir le niveau de l'huile qu'elles contiennent. Le montage est délicat... Attention, pour l'instant ces boites sont vides, il faudra les remplir avant de faire rouler l'engin !

[Bergün]

La Schneider se prépare également pour la reprise. Elle a retrouvé son dôme :

[dedion204]

Notre Mallet 101 en cours de reconstruction à Anduze

Salut à tous,


Dès que tu as 5 minutes Dominique, tu peux venir faire un tour aux VFV


A plus et bon courage à tous RORO

[Bergün]

Pendant cette semaine, la Schneider n'a pas retrouvé que son dôme. Ses bielles, ou plutôt les coussinets en bronze, ont également subi une cure de jouvence sous les doigts experts de Dominique (muni de sa fraiseuse de compétition). Et voilà le travail:

[Panama]

Vous avez vu le "gras" exceptionnel des roues de la Schneider (épaisseur des bandages).

Cela est dû à une décision très intelligente de ceux qui ont assuré les premiers travaux sur la machine, lors de son arrivée au Train des Huitres, comme il s'appelait alors.
La caisse était vide, et la liste des travaux nécessaires bien longue.
Les travaux étaient assurés par des cheminots des ateliers de Saintes, qui jugèrent prioritaire de changer les bandages, bien entendus proches de la limite d'usure : ils découvrirent qu'il y avait à la SNCF un type de locomotive BB qui avait les mêmes bandages, et que ceux-ci étaient en stock : leur remplacement fut donc un des premiers travaux engagés : EXCELLENTE initiative, puisqu'il doit y avoir longtemps qu'il n'y a plus de bandages en stock à la SNCF.

Loco17, Christian et d'autres sauront sûrement nous en dire plus.

Vive le Chemin de Fer !