je me souviens que le "Chinois" produisait un breuvage étonnant autant que bizarre , le"Mékouélou"(ou quelque chose d'approchant)

Mais à l'époque on n'avait peur de rien.
jp
hmc a écrit:Salut,
je me souviens que le "Chinois" produisait un breuvage étonnant autant que bizarre , le"Mékouélou"(ou quelque chose d'approchant).
Mais à l'époque on n'avait peur de rien.
jp
Double Dabeg a écrit:JFK a écrit:Même si je participe pas souvent à ce topic, la lecture de tes posts est toujours très intéressante.
C'est vraiment une époque que j'aurais voulu connaitre.
Pour en revenir à la suspension pneumatique, elle présente un autre avantage.
Comme les freins y sont asservis, quelque soit la charge, la distance de freinage sera toujours la même pour la même dépression dans la CG.
Malheureusement, il y a aussi un inconvénient.
Sur certaines sections de lignes (le tunnel parisien de la ligne D par exemple), on peut être très limité en vitesse puisqu'en cas de suspension isolée, on considère que le frein d'un essieu l'est aussi.
Sur certains matériels, c'est même pire, on considère que le bogie a une boite chaude avec toutes les restrictions de circulation qui vont avec...
Heureusement, les suspensions pneumatiques sont très fiables et l'un des rares cas que je connaisse avec isolement de la suspension était dû à l'état de la voie...
Pour les VB2N, je ne suis pas vraiment sûr que ce soit lié. On considère une boite chaude, parce qu'il n'y a pas de ressort à l'intérieur du boudin, il y a risque de basculement quand un boudin n'est pas alimenté en air, d'où considérer une boite chaude pour la vitesse. (De mon temps)
Pour les Z2N, on limite en vitesse à 70 km/h. Cette vitesse, si les boudins ne sont pas alimentés, n'est là que pour limiter les efforts mécaniques.
Les Z2N sont équipées d'un autovariable suivant la charge, c'est exact, mais ce n'est pas pris dans la pression des boudins, c'est la valve de pesée qui s'en charge, en pilotant le Q AV, relai auto variable situé entre la VE(MD), électrovalve de conjugaison et la VE(SUB)F, électrovalve de substitution inverse pour les motrices, et toujours la Q AV piloté par la valve de pesée entre le RA et le distributeur pour les remorques.
La valve de charge est inopérante boudins dégonflés, d'où l'application du GD et la considération des bogies isolés pour la réduction de vitesse en application de la page 499.
sncb_nmbs a écrit:Comme promis, le cahier d'écolier volume 3 est compilé :
Bernard Bayle a écrit:La DB voulait comparer le comportement dynamique de l'ICE entre une voie posée à l'allemande et une posée à la française.
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