Le Basque a écrit:Il resterait quand même un petit plus pour la voie à picots (Je n'en suis pas...) c'est la quasi certitude de garer une machine à un endroit précis et de pouvoir la dé-garer quelques jours, ou quelques semaines, plus tard sans recourir à la poussette.
Je m'égare ?
En fait, non! (ou oui, tu t'égares)
On se dit, en effet, que comme l'ensemble des roues prend une alternance, il y en aura toujours une par où le courant passe. Et donc que ça va rouler sur du velours. Sur ce plan, c'est juste. Mais le système a aussi son talon d'Achille: les picots! Le ski a beau être plus ou moins long, il ne frotte que sur quelques picots à la fois et le sommet de ceux-ci s'empoussière comme le reste.Et donc, une loco qui est restée sur une voie non dépoussiérée hoquette et cale aussi à petite vitesse comme en système "deux rails". Je ne gomme pratiquement jamais les rails mais je dois gommer les picots. Et c'est moins commode.
Enfin, si je voulais être tout à fait rosse vis-à-vis de la dame de Göppingen, je dirais que mes machines "3 rails" ayant le meilleur roulement sont des ROCO et des Electrotren.
En revanche, la robustesse du matériel est incontestable ainsi que sa résistance à l'usure.
C'était dans quel Spirou, ça? 
C'est comme un navire sans capitaine! Les Stones sans Keith Richards! Un député sans commission occulte! Une guitare sans cordes! Une locomotive sans roues rouges! Mon chien sans nonos! Un barbu sans turban! Un turban sans barbu! Un barbu sans culotte! Une culotte sans barbu! Un avion sans ailes! Une bière sans faux-col! Une vapeur sans reproche! Un ricard sans glaçons! Un Frédéric sans dard! Un cendard sans mégot!
