gib a écrit:
Je me suis déjà posé ce genre de questions, Pierre ... Alors imaginer cela avec des tunnels comme diviseurs scéniques entre les sites remarquables ?
Les tunnels, nous sommes souvent obligés d’en abuser pour les entrées/sorties sur nos maquettes, jusqu’à essayer d’en caser en pleine Beauce. Dans le réseau de mes rêves, le problème ne se pose pas. Comme dans la réalité la voie se perd au loin dans une (grande) courbe et la sortie du module est invisible du spectateur car cachée par la végétation. Il va sans dire que le spectateur en question n’est pas en mesure de s’approcher suffisamment près de la sortie du module pour voir le subterfuge, d’autant plus que ses yeux sont toujours au niveau de la voie, ou plutôt du sol, c'est-à-dire parfois très en dessous de la voie quand il y a un viaduc. Un ingénieux système à base de vérins mets le réseau au niveau des yeux quelle que soit la taille du spectateur. Autre option plus économique : tout le monde en fauteuil roulant pour les visites de réseaux !
Tiens pour reparler de la Beauce c’est une autre idée de rêve : représenter une grande ligne traversant la Beauce. Une simple double voie en Ligne droite (au choix Paris Orl éans, Paris Le Mans ou … le TGV A) mais vue de très loin au-delà des champs. L’échelle pourrait être le N ou le HO (en Z rien de Français comme vu par Domi) ce n’est qu’une question de place. Principe : qu’il soit IMPOSSIBLE de s’approcher du train à moins de 5m si c’est du HO. Là il faut beaucoup de place. Disons au moins 40m de long sur 10 de larges. En N on divise par deux. Des trappes d’accès le long de la ligne permettent l’entretien. L’idée est exactement contraire à celle de Rapide qui ne veut représenter que les abords immédiats de la voie. La le train est remis « à sa place », c'est-à-dire un élément de paysage en mouvement.
Une brute qui tourne en rond ne va pas plus loin que deux intellectuels assis (Michel Audiard revisité)