Quelques travaux en cours
D'abord une matière première que j'utilise pour les sapins et, depuis peu, le spins. Il s'agit de branches d'ajoncs. Il existe (au moins) deux types d'ajoncs, qui ont en commun de magnifiques fleurs jaunes légèrement orangé au printemps et au début de l'automne et de tiges ... pleines de piquants. Le plus répandus ont de grandes tiges devennat parfois de vrais arbustes. On en trouve plein en Bretagne mais j'ai vu que le long de l'autoroute A10 on en trouve presque jusqu'en région parisienne. Ont-il fait du stop

?
Une autre espèce d'ajoncs, avec des tige strès tordues, bien plus petite, et des piquants très compacts, ne pouse que sur le littoral. Su cette photo, je réunis les deux, mais les ajoncs de bord de mer sont déjà "élagués"
Cette phase "d'élagage" est la plus importante car elle donne la forme future de l'arbre miniature (en fait, auparavant il y a déjà le choix des tiges .. et leur coeuillette, qui demande quelques précautions). C'est lors de lélagage que j'opte pour un pin ou un sapin. a près j'enduit la tige de colle en bombe puis passe avec un pinceau de la terre à décor.
Ensuite je mets un peu de Sylbranche, mais vraiment très peu. Il me sert surtout de support pour le filet floqué ou pour quelque chose que j'ai tenté ici: utiliser des extrémités de fleurs d'orthensias séchées, qui me servent de support au flocage. j'ai même pensé à utiliser toute la fleur séchée comme arbre mais le tronc ne ressemble pas assez à celui d'un pin (peut-être cela convinedrait-il éventuellement pour un pin parasol).
Après flocage j'obtient le résultat ci-dessous
Le vert est un peu clair pour un pin forestier mais correspond à certains pin maritimes. J'éclaircirai peut-être aussi un peu le ramage, un peu épais.
Encore une photo avec différent arbres à des stades plus ou moins avancés
de gauche à droite, un cèdre fait à partir de brindilles de cyprès (très proche du cyprès de lambert mais avec un flogage différent), quelques pins de bord de mer très tordus (j'en ai vu des comme cela) un sapin encore perfectible et des grands pins plus ou moins avancés.
Une brute qui tourne en rond ne va pas plus loin que deux intellectuels assis (Michel Audiard revisité)